Datation
Type d'objet
Matériaux
Dimensions
Numéro d'inventaire
Identifiant Urban
Description
La Valentine se voulait au départ une version innovante, utilitaire et bon marché des machines à écrire traditionnelles, se distinguant par une nouvelle façon d’utiliser l’objet et d’interagir avec lui. Sa portabilité était le principe clé: comme le disait lui-même son designer, Ettore Sottsass, elle était destinée à être « utilisée partout, sauf au bureau ». Cette machine à écrire portative n’allait toutefois pas intégrer toutes les petites révolutions imaginées par l’Italien, comme la suppression du « ding » et des minuscules. En outre, en raison peut-être de son prix jugé encore trop élevé, la Valentine ne rencontre pas le succès escompté. Cette machine à écrire deviendra néanmoins un objet emblématique de la fin des années 1960, incarnant l’esthétique et l’esprit ludique du pop art et nourrissant les rêves de nomadisme. L’ABS a permis en outre d’y apporter un aspect ludique, tant au niveau des couleurs que des formes, à l’instar des objets créés à cette époque.
Voir également la fiche de cet objet sur : collection.designmuseum.brussels
CréditsDiscussion












![Carton publicitaire 'A la Pouponnière - couture pour enfants' F. Agneessens, Chaussée de Gand, 61 (Molenbeek-Saint-Jean), maison Ern. Thill (Bruxelles), s.d. [vers 1950-1960].<br>](https://collections.heritage.brussels/medias/66/objects/77/PAKA_2019.033_Recto.jpg)








![Carte-vue Les patrons pâtissiers réunis de Belgique, salle des machines, Rue de l'Indépendance (Molenbeek-Saint-Jean), éd. L. Reifenberg (Bruxelles), s.d. [vers 1910].<br>](https://collections.heritage.brussels/medias/66/objects/77/SP_2011.0014.jpg)



















