Datation
Entre 1501 et 1600
Type d'objet
Matériaux
Techniques
Style
baroque
Dimensions
hauteur 146.5 cm — largeur 108.5 cm — profondeur 0.7 cm
hauteur 131.5 cm — largeur 169 cm — profondeur 6 cm (avec cadre)
hauteur 146.5 cm — largeur 108.5 cm — profondeur 0.7 cm
hauteur 131.5 cm — largeur 169 cm — profondeur 6 cm (avec cadre)
hauteur 146.5 cm — largeur 108.5 cm — profondeur 0.7 cm
Numéro d'inventaire
MEH 0261
Identifiant Urban
43861
Description
Saint Antoine (ca. 251-356) a consacré sa vie à la prière et à la contemplation,
renonçant à tous les plaisirs du monde. Pourtant, il a été mis à l’épreuve à plusieurs reprises. Il avait des visions à la fois séduisantes et terrifiantes.
Au centre du tableau, une jeune femme dévoile négligemment sa nudité séductrice. Sur sa main, une chouette, symbole de l’ignorance et de la mort.
À ses côtés, une femme âgée brandit une quenouille, attribut féminin par excellence et symbole de l’écoulement du temps. Un monstre mystérieux présente sur un plateau d’étain la tête d’un animal fabuleux. Une renarde habillée en nonne, munie du bâton et de la calebasse du pèlerin, tient sous le bras un luth qui évoque la luxure. Saint Antoine exécute un geste de répulsion et de refus.
Dans le fond du tableau à gauche, une ville fortifiée brûle. L’incendie gagne l’église, dont le clocher va s’embraser. L’église incendiée, la nonne débauchée font allusion à la crise profonde que traverse l’Église, déchirée par les schismes, les hérésies et la licence des membres du clergé.
renonçant à tous les plaisirs du monde. Pourtant, il a été mis à l’épreuve à plusieurs reprises. Il avait des visions à la fois séduisantes et terrifiantes.
Au centre du tableau, une jeune femme dévoile négligemment sa nudité séductrice. Sur sa main, une chouette, symbole de l’ignorance et de la mort.
À ses côtés, une femme âgée brandit une quenouille, attribut féminin par excellence et symbole de l’écoulement du temps. Un monstre mystérieux présente sur un plateau d’étain la tête d’un animal fabuleux. Une renarde habillée en nonne, munie du bâton et de la calebasse du pèlerin, tient sous le bras un luth qui évoque la luxure. Saint Antoine exécute un geste de répulsion et de refus.
Dans le fond du tableau à gauche, une ville fortifiée brûle. L’incendie gagne l’église, dont le clocher va s’embraser. L’église incendiée, la nonne débauchée font allusion à la crise profonde que traverse l’Église, déchirée par les schismes, les hérésies et la licence des membres du clergé.
Discussion