![Louis Huygens, sans titre [Le domaine et manoir d'Oostendael, futur Parc Marie-José à Molenbeek-Saint-Jean], huile sur toile, 1917.<br>](https://collections.heritage.brussels/medias/66/objects/77/Domaine_Oostendael_Huygens_1917_SM_DP0_light.jpg)
Emplacement
°Réserves
Datation
Entre 1860 et 1865
Type d'objet
Matériaux
- matière animale > soie (pékin ? )
Exposition
Crinolines & cie. La bourgeoisie s'expose. 1850-1890, 28 mai 2015 — 10 avril 2016
Lieu de création
Europe
Dimensions
hauteur 43 cm — largeur 53 cm (E.01 corsage)
hauteur 40 cm — largeur 50 cm (E.02 boléro )
hauteur 131 cm — largeur 62 cm (E.03 jupe)
hauteur 40 cm — largeur 50 cm (E.02 boléro )
hauteur 131 cm — largeur 62 cm (E.03 jupe)
Numéro d'inventaire
C2013.07.01E.01-03
Identifiant Urban
58079
Description
Portée par une dame de la noblesse à un bal sous Léopold 1er.
Robe à transformation à deux-pièces et boléro assorti.
Soie pékinée de bandes d’ottoman noir et de satin à motifs de tartan (bleu nattier, vert, noir, jaune, rouge et blanc). Boléro bordé d’une corde en passementerie aux tons assortis formant
des boucles et de pampilles. La même corde orne les emmanchures et le bas des manches.
Jupe à crinoline projetée. Le bas de la jupe est bordé d’un galon de velours de soie. Sous-jupe reconstituée. Ce modèle est équipé d’un ruban intérieur qui passe dans une tirette et permet de retrousser la jupe. Corsage assorti à encolure ronde, fermé par huit boutons recouverts de fil de soie (six originaux). Longues manches en forme ornées de la même corde de passementerie au poignet, noeud factice en gros-grain noir.
Robe à transformation à deux-pièces et boléro assorti.
Soie pékinée de bandes d’ottoman noir et de satin à motifs de tartan (bleu nattier, vert, noir, jaune, rouge et blanc). Boléro bordé d’une corde en passementerie aux tons assortis formant
des boucles et de pampilles. La même corde orne les emmanchures et le bas des manches.
Jupe à crinoline projetée. Le bas de la jupe est bordé d’un galon de velours de soie. Sous-jupe reconstituée. Ce modèle est équipé d’un ruban intérieur qui passe dans une tirette et permet de retrousser la jupe. Corsage assorti à encolure ronde, fermé par huit boutons recouverts de fil de soie (six originaux). Longues manches en forme ornées de la même corde de passementerie au poignet, noeud factice en gros-grain noir.
Sources
Esgain C. et Gauthier C., Crinolines & cie : la bourgeoisie s’expose, 1850-1890, livret d’exposition, Musée du Costume et de la Dentelle, Bruxelles, 2015, notice 42.
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