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Numéro d'inventaire
Identifiant Urban
Description
Á l’instar de Guillaume Vogels, Léopold Speekaert affectionne
particulièrement Bruxelles et ses environs, se laissant volontiers inspirer par ces
lieux. Il est sans doute l’un des rares paysagistes de l’école belge de la fin
du XIXe siècle à avoir mis autant d’intimité dans un paysage, à
avoir saisi l’âme secrète d’un quartier, d’une rue, d’un canal ou d’un fleuve.
En 1937, le critique d’art Noël Charron, écrit à son sujet : « Speekaert
demeurera toujours un rêveur, un immobile, un casanier. Son œuvre est calme. Il
se contente du coin de terre où il est né et ne peindra guère hors de la
banlieue bruxelloise, si ce n’est à Villers, nous dit son biographe, et aux
rives mosanes » (« Le Musée Speekaert »,
Touring Club de Belgique, 17 septembre 1937, p. 274).
Sources
Musée Speekaert (catalogue), Saint-Gilles-lez-Bruxelles, p.11, n°43.
LOUIS, E., « Léopold Speekaert », Fédération Artistique, 1 mai 1898, Anvers, pp. 227,228.
MECOENAS (Théodore Hannon), « Léopold
Speekaert », La Chronique, 22
avril, 1898, s.p.
MAUS, O., « Léopold Speekaert »,
L’Art Moderne, 24 avril 1898, pp.
131, 132.
BENSUS, M., « Type
d’aujourd’hui, Léopold Speekaert », Le
Bruxellois, 2 avril 1918, s.p.
Voir la fiche originale de cet objet : balat.kikirpa.be
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