Datation
Type d'objet
Matériaux
Techniques
Style
Lieu de création
Inscriptions
"S. 135" (inscription : au dos - écrit)
Dimensions
Numéro d'inventaire
Identifiant Urban
Description
Propriété de la famille
de Cortenbach, le château de Haren et ses dépendances, entourés d'un parc et de
plusieurs étangs, furent érigés dans la première moitié du XVIe
siècle. En 1780 il fut acquis par le marquis d’Asse, de la famille van der
Noot, qui en resta propriétaire jusqu’en 1912. Les bâtiments furent démolis en 1920.
Dans cette œuvre, Speekaert
représente, à l’avant-plan, un versant du jardin du château et, à
l’arrière-plan, le château lui-même apparaissant derrière les arbres. La
composition, toute en verticalité, met en évidence la végétation et le terrain
au premier plan, dont la gamme chromatique se compose de verts, de gris et de
beiges. Speekaert modèle les formes au moyen de tonalités sombres et claires.
La différenciation entre le premier plan et l’arrière-plan n’est pas aisée. La
perspective en souffre. L’artiste dans son élan créateur semble négliger le
rôle de la profondeur.
Sources
Musée Speekaert (catalogue),
Saint-Gilles-lez-Bruxelles, 1929, p. 14, n°76.
LOUIS, E., « Léopold
Speekaert », Fédération Artistique,
1 mai 1898, Anvers, pp. 227,228.
MECOENAS (Théodore Hannon), « Léopold
Speekaert », La Chronique, 22
avril, 1898, s.p.
MAUS, O., « Léopold Speekaert »,
L’Art Moderne, 24 avril 1898, pp.
131, 132.
Van ZYPE, G., Chronique
artistique, La Gazette, 20 novembre
1907, s.p.
BENSUS, M., « Type
d’aujourd’hui, Léopold Speekaert », Le
Bruxellois, 2 avril 1918, s.p.
Voir la fiche originale de cet objet : balat.kikirpa.be
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