Canal de Willebroeck, Syphon des Trois Trous (après la pluie)
Léopold Speekaert
Datation
Type d'objet
Matériaux
Techniques
Style
Lieu de création
Inscriptions
Dimensions
Numéro d'inventaire
Identifiant Urban
Description
Les origines
du peintre, issu d’une famille de riches propriétaires fonciers de Vilvorde,
mais aussi sa formation à l’atelier libre Saint-Luc, expliquent que sa
sensibilité s’accorde avec la campagne et les villages du nord de la capitale.
Haren et Willebroeck notamment, trouvent en lui un de leurs peintres les plus
fidèles car l’artiste sait demeurer vrai et sensible chaque fois qu’il décide
d’y planter son chevalet et de saisir leurs beautés intimes. Le critique d’art,
Noël Charron souligne à ce sujet : « Par ses recherches d’atmosphères
et les tons amortis […].
Speekaert, peintre bruxellois né rue Haute, s’affirme un des chercheurs les plus
subtils de la pléiade de “l’art libre” ». (« Le Musée Speekaert », Touring Club de Belgique, 17 septembre 1937, p. 273).
Sources
Musée Speekaert (catalogue),
Saint-Gilles-lez-Bruxelles, 1929, p. 11, n°34.
LOUIS, E., « Léopold
Speekaert », Fédération Artistique,
1 mai 1898, Anvers, pp. 227,228.
MECOENAS (Théodore Hannon), « Léopold
Speekaert », La Chronique, 22
avril, 1898, s.p.
MAUS, O., « Léopold Speekaert »,
L’Art Moderne, 24 avril 1898, pp.
131, 132.
BENSUS, M., « Type
d’aujourd’hui, Léopold Speekaert », Le
Bruxellois, 2 avril 1918, s.p.
Voir la fiche originale de cet objet : balat.kikirpa.be
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