Datation
Type d'objet
Matériaux
Techniques
Style
Lieu de création
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Dimensions
Identifiant Urban
Description
Bien que le penchant
de Léopold Speekaert pour le classicisme semble s’accorder à ses origines
bourgeoises, sa forte personnalité et son caractère indépendant le poussent
dans le camp des réalistes, qu’il rejoint en 1853, lors de son passage par l’Atelier Saint-Luc. Il
est, avec Henri Schoofs (1815-1862), Alfred Verwée (1838-1895) et Louis Dubois
(1830-1880), parmi les plus fervents admirateurs et défenseurs de l’œuvre de
Gustave Courbet (1819-1877) en Belgique.
Sources
Archives
Administration communale de Saint-Gilles, s.n.
Sur le peintre :
VERLANT, E., Exposition – « Léopold Speekaert », Journal de Bruxelles, 22 avril, 1898, sp.
Exposition Léopold Speekaert, catalogue d’exposition, Avenue de la Toison d’Or, 114, Imprimerie
Gouweloos frères, Bruxelles, 1898, p. 1, n° 9.
LOUIS, E., « Léopold Speekaert », Fédération Artistique, 1 mai
1898, Anvers, pp. 227, 228.
MECOENAS (Théodore Hannon), « Léopold Speekaert », La Chronique,
22 avril, 1898, s.p.
MAUS, O., « Léopold Speekaert », L’Art Moderne, 24 avril 1898, pp. 131,132.
Voir la fiche originale de cet objet : balat.kikirpa.be
CréditsDiscussion